top of page

Une équipe à votre service pour votre bien-être et votre équilibre physique et mental,

un acupuncteur traditionnel, hypnothérapeute, une naturopathe, une spécialiste en médecine et massage ayurvédique, une sophrologue, etc ... ...

René Flinois est acupuncteur depuis 1987  et hypnothérapeute.

​

Il étudie les arts martiaux japonais et chinois ainsi que la méditation pendant 35 ans, dont 5 ans au quotidien avec Itsuo Tsuda, avant d'effectuer ses premiers voyages : Reporter de guerre en Afghanistan, 4 anneées en Afrique, 64 pays visités ... 

​

20 000 km à pied de Paris à Pékin, Tokyo et Bangkok, au profit d’une Association Humanitaire, Enfants réfugiés du Monde,  avec le soutien de Médecins Sans Frontières.

Il a enseigné le Tai Chi Chuan de la Wen Wu School,  le Qi Cong, et la marche énergétique consciente.

En adaptant les techniques respiratoires des Moines Taoïstes aux rythmes ancestraux des nomades Afghans, René FLINOIS a créé la marche énergétique consciente source de bien-être et de longévité,

il y a plus de 30 ans.

          Marche de Paris à Pékin de mars 1987 à mai 1989, 25 mois, 24 pays traversés,

           2 paires de chaussures, 50kms en moyenne par jour, avec 32 kilos sur le dos ...
               Un livre publié aux Editions Nathan, dont les bénéfices ont été reversés

                                     à l'Association "Enfants réfugiés du monde",

                                    avec le soutien de Médecins sans Frontières ...
Guiness book des Records de 1990 à 2000, Record du monde de la plus longue marche ...

Préface du livre "Manda Na Baashi" par Patrick Ségal

"Heureusement que la Terre est ronde, sinon René Flinois serait encore à la lisière de l’horizon, et nous ne pourrions aller au rythme de ses réflexions sur les chemins tortueux qui mènent au pays du Milieu, dans cette Chine de légende où se rendirent quelques grands ancêtres comme Marco Polo. Là où certains marchent à la lueur des sunlights, lui choisit les chemins creux, loin de la foule et des visites organisées ; il marche souvent à l’ombre, sans tambour ni trompette comme un pèlerin s’aidant de son bâton, pour tracer une voie qu’emprunteront un jour les Enfants réfugiés du monde, qu’il défend et soutient de toute son énergie. Il est vagabond aux yeux des policiers, Indien échappé d’une réserve, avec son bandeau flottant au vent ; il est observateur, curieux, reporter et témoin quand la guerre vient détourner les hommes des montagnes afghanes. A la différence de Don Quichotte poursuivant sa quête, l’homme en marche chargé d’une noble mission sait trouver le temps, le lieu et l’heure pour s’arrêter sur le bord du chemin, saluer une belle, lui réciter des poèmes anciens et goûter aux délices de la vie. Plus il marche, plus il va vite, plus son corps devient léger, aérien, insensible aux pièges de la route. Il marche en psalmodiant pour donner à son souffle le rythme des caravaniers des hauts plateaux. Dans ce monde où tout va vite, où la lecture reste le privilège des sages, il nous fallait un guide, un berger solide et généreux qui emmène nos rêves en balade comme jadis Merlin l’Enchanteur. J’en ai connu beaucoup de ces enfants oubliés des hommes, là-bas, dans les orphelinats du Sud-Est asiatique, qui attendaient un papa marcheur, ambassadeur impénitent de cette juste cause. Ne croyez pas pour autant que René Flinois soit un saint, ou un mystique. Il est simplement un fou de vie, un amoureux de la découverte, un grand enfant prêt à conquérir le royaume du vent qui souffle là-haut, là où la civilisation naquit il y a quelques milliers d’années. Si un jour vous rencontrez un enfant perdu, prenez-lui la main et dites lui qu’il y a encore des hommes comme René Flinois qui nous apprennent à grandir..."

 

Patrick Segal
 

Paris-Pékin, 20 000 km à pied

Témoignages

 

" A Peshawar, nos chemins se sont croisés pour entrer en Afghanistan, René FLINOIS en avait fait un de ses buts. Alors, habillé en moudjahid comme tout étranger qui veut entrer sur le territoire de ce pays en guerre, il a franchi les 16

contrôles de la police Pakistanaise.

Avec le Commandant ANWAR, un des plus importants chefs de la résistance, il est monté à l’assaut de la route de Kaboul, acceptant de se transformer en cameraman à ma demande. Il a filmé, discuté, observé ces farouches moudjahidines.

Les évènements de la guerre l’obligeront à revenir à son ancienne profession d’infirmier. Des moudjahidines étaient blessés, il est allé leur porter les premiers soins.

Son retour d’Afghanistan sera horrible. Jamais je n’oublierai l’image de René FLINOIS, marchant comme un forçat, avançant ses pieds en sang avec l’énergie du désespoir sous les balles et les obus soviétiques.

Les 300 kilomètres de marche dans les torrents asséchés, sur les galets,
avaient achevés ses chaussures. Il aura ainsi franchi des cols de 4000, de 3000 et de 2500 mètres au terrible rythme des résistants.

Son retour fût un calvaire, mais il y est allé et il en est revenu … "

 

Emilien Jubineau, reporter de guerre, journaliste de base.
Extrait d’un article dans « Les nouveaux Aventuriers ».

bottom of page